Je souhaite revenir sur cette surcharge de nos agendas qui constitue souvent un obstacle à l'entrée des femmes en politique. Je me souviens a contrario de l'exemple que nous avait donné une ministre québécoise qui avait reçu notre groupe interparlementaire d'amitié en fin d'après-midi. Elle nous avait annoncé qu'elle s'éclipserait à 19 heures pour s'occuper, comme tous les soirs, de ses enfants mais qu'elle nous rejoindrait ensuite pour le dîner.