s'est déclaré partagé sur la proposition de loi. D'un côté, l'ouverture de ces professions aux étrangers est un facteur d'attractivité pour les diplômes français. De l'autre, il y a le risque de se priver d'un argument de négociation pour inciter de nombreux Etats à ouvrir ces mêmes professions aux ressortissants français titulaires d'un diplôme français. Il a cité l'exemple des négociations en cours avec le Québec pour une ouverture de l'ensemble de ces professions.