En réponse, M. Henri Bourguinat a précisé que si le solde courant comprenait bien les investissements nets, les importants investissements étrangers aux Etats-Unis avaient comme contrepartie des investissements presque aussi importants des Etats-Unis à l'étranger. Il a indiqué que, selon M. Kenneth Rogoff, professeur à l'université de Harvard, c'était la première fois, depuis la Rome antique, qu'un Etat captait une telle proportion de l'épargne mondiale.