a jugé qu'il existait, pour reprendre une expression de M. Larry Summers, président de l'université de Harvard, un « équilibre de la terreur » entre la Chine et les Etats-Unis, considérant que la Chine n'avait pas intérêt à ce que le dollar se déprécie, du fait de l'importance de ses réserves de changes en dollars. Il a par ailleurs souligné que l'euro s'apprécierait s'il remplaçait le dollar comme monnaie de réserve, ce qui aurait des conséquences dommageables pour les économies européennes.