après avoir estimé qu'on attendait du FRR une qualité de gestion lui permettant de faire apparaître un surplus par rapport au coût moyen de la dette de l'Etat, a estimé prudent d'évaluer ses ressources à long terme à 1,3 milliard d'euros par an, tant il était difficile de prévoir la nature des arbitrages que rendraient les gouvernements à venir. Puis il s'est interrogé sur le contenu exact de la notion d'« investisseur responsable » et, dans le cadre de la diversification des placements, sur la réflexion qu'avait pu mener le fonds concernant le type d'investissement susceptible de représenter l'immobilier, ainsi que sur l'utilité de la récente réforme des sociétés foncières avec la création des sociétés d'investissement immobilier cotées.