a relevé le caractère inédit de la situation issue de la création d'un établissement public de gestion « sui generis ». Soulignant le caractère extrêmement complexe du quartier de la Défense, il a reconnu que l'ensemble des partenaires « apprenaient en marchant ». Il a indiqué, qu'au début 2008, les tutelles avaient bien envisagé une convention de gestion, mais qu'un autre scénario avait été finalement retenu, au terme duquel l'EPAD devait assumer a minima les dépenses d'exploitation.