a précisé que la ligne de trésorerie ouverte au profit de l'EPAD, en application d'une délibération du conseil d'administration, permettrait la mobilisation de 70 millions d'euros au fur et à mesure des besoins. Il a noté que les banques s'étaient contentées de la garantie constituée par le statut d'établissement public d'Etat.
Observant que ce crédit avait été négocié avant les débats sur les transferts de biens, il a indiqué qu'il était destiné initialement à couvrir les seules dépenses de fonctionnement ordinaire de l'établissement public, ainsi que des travaux d'aménagement. Il a souligné le niveau particulièrement faible de la trésorerie attendue en 2008 et s'est inquiété du risque que la situation se détériore, si l'EPAD devait continuer à assumer des dépenses d'exploitation. Il a rappelé que depuis février 2008 l'établissement s'efforçait de limiter au maximum les dépenses, qui sont systématiquement « co-visées » par l'EPGD. En conséquence, le déficit d'exploitation devrait être diminué de moitié pour l'exercice 2008.