a indiqué que le principal risque supporté par l'EPAD tient à l'obsolescence de certaines tours, vieilles d'une trentaine d'années, qui sont aujourd'hui inadaptées aux nouvelles technologies de l'information et de la communication et n'intègrent pas les contraintes liées aux économies d'énergie. Pour éviter que ces tours ne restent vides à l'avenir, l'EPAD s'est engagé, dans le cadre du plan de renouveau de la Défense, dans un dispositif de démolition/reconstruction. M. Patrick Devedjian a précisé que 450.000 m2 de bureaux supplémentaires pourraient ainsi être construits sur le quartier de la Défense, dont 150.000 m2 en rehaussement dans le cadre d'opérations de démolition/reconstruction, ce dispositif étant nécessaire pour rendre viables les opérations foncières.