Pour prolonger la question de notre collègue, comment l'Union européenne peut-elle contribuer au règlement des « conflits gelés » dans cette zone, comme l'Ossétie du Sud ou l'Abkhazie, entre la Russie et la Géorgie, ou encore le Haut-Karabagh, entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan ?
Une approche globale, comme le Partenariat oriental, à l'égard de pays très différents et avec des « conflits gelés » sur leur territoire, est-elle la plus pertinente et l'Union européenne peut-elle faire abstraction de ces « conflits gelés » en renforçant ses relations avec les pays de la région ?