Votre question est légitime mais je n'ai pas de réponse définitive. Ces « conflits gelés » sont des questions très difficiles à résoudre. L'Union européenne, et la France, encouragent les parties en présence à négocier et à trouver un accord, que ce soit entre la Moldavie et la Transnistrie, la Géorgie et la Russie, ou encore entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan.
Dans le même temps, ces pays ne peuvent pas être les « otages » de situations de fait. Il existe une forte attente de ces pays à l'égard de l'Union européenne. L'Union européenne, pour sa part, ne peut pas renoncer, du fait de l'existence de ces conflits, à projeter son modèle, politique et économique, dans son voisinage immédiat et à rechercher le développement économique et la stabilité du continent européen.