a répondu qu'il s'agit de s'interroger sur la place du paysage, pas seulement comme un apport à un document d'urbanisme, mais comme question globale à aborder avant tout développement. Il a d'ailleurs évoqué la présence trop limitée des paysagistes-conseils et architectes-conseil de l'Etat, dont le mandat, réduit à deux jours par mois, ne semble pas suffisant pour permettre une telle approche politique. Tout en reconnaissant être allé au-delà de la réflexion budgétaire stricto sensu, il a toutefois ajouté que l'examen des crédits montrait que les intérêts de la commission pour les parcs naturels nationaux et régionaux étaient bien pris en compte.