s'est étonné de ce que les plus-values réalisées par certains gestionnaires financiers soient soumises au droit commun des plus-values, soit un taux de 16 %, auquel s'ajoutaient 11 % de prélèvements sociaux, et non aux cotisations sociales et à l'impôt sur le revenu, comme les salaires. Il y a vu un possible gisement de recettes fiscales. Il s'est interrogé sur la distorsion de concurrence qui pourrait résulter de la future réforme de la taxe professionnelle, si celle-ci devait être supprimée pour les investissements nouveaux. Il a jugé que la commission devait être associée à la réflexion sur les prélèvements obligatoires pour déterminer la structure optimale de la fiscalité.