Observant que le Commissariat général au Plan et la DATAR avaient été figés durant plusieurs décennies, malgré un monde en pleine évolution, M. Jean-Paul Alduy s'est félicité de ce que l'intervenante poursuive la démarche dynamique initiée par son prédécesseur et cherche à faire preuve de davantage de réactivité et de transparence. Il l'a questionnée sur la valeur ajoutée qu'elle entendait apporter au regard d'institutions existant déjà dans les assemblées parlementaires, administrations, universités ou institutions européennes. Il l'a également interrogée sur l'articulation du centre avec des organes similaires existant dans d'autres pays européens, ainsi que sur la façon dont il pourrait délivrer des informations sur les travaux de prospective y étant menés.