a confirmé la nécessité d'un soutien de l'Etat à la mission d'intérêt général de La Poste que constituait l'aménagement du territoire. Rappelant que la réforme de la taxe professionnelle avait conduit en cinq ans à une division par deux de l'allégement fiscal dont bénéficie La Poste, il a considéré que le report à 2011 de la fin du monopole postal laissait plus de temps pour organiser l'intervention de l'Etat en faveur du maintien du service public postal.
Concernant la transformation des directions départementales en directions régionales, il a fait état de l'émotion que cette transformation avait pu susciter chez certains élus et s'est engagé à s'en faire l'écho auprès du ministre. Il a aussi suggéré que, dans le cas de directions interdépartementales, La Poste ne choisisse pas systématiquement d'installer la direction dans le département le plus important des deux.