a constaté que le traité de Lisbonne levait les ambiguïtés contenues dans le traité d'Amsterdam en reprenant les conditions d'accès au statut de région ultrapériphérique prévues dans le projet de traité constitutionnel et en énumérant les régions ultrapériphériques. Il a néanmoins déploré que l'Ile de Mayotte ne soit pas une région ultrapériphérique de l'Europe.
Suggérant l'organisation d'un Grenelle européen de l'environnement, M. Jacques Muller s'est, par ailleurs, inquiété d'une discordance entre les objectifs européens de formation et de développement et le dumping social qui s'exerce en Europe du fait d'une libéralisation non maîtrisée du marché du travail. Le travail étant fortement surtaxé en Europe, il a estimé qu'il conviendrait de substituer progressivement à la taxation du travail une taxation de la pollution.