a rappelé que le FRR avait été mis en place à un moment où la CNAVTS était excédentaire et que les dotations accordées au FRR étaient neutres du point de vue du solde des administrations publiques. En revanche, il a indiqué qu'elles conduisaient à accroître le montant de la dette publique brute, concept sur lequel il a formulé certaines réserves. Il a notamment estimé que la situation des régimes de retraite par répartition conduisait à la formation d'une dette implicite et que l'on pouvait considérer, de ce point de vue, le FRR comme un instrument de désendettement à long terme. Il a également fait valoir que les régimes AGIRC et ARRCO constituaient, eux-mêmes, des réserves pour faire face aux besoins de long terme.