ont indiqué que les comptes du FRR avaient fait l'objet d'une certification sans réserve et ont précisé que la Cour des comptes pouvait également les contrôler. M. Antoine de Salins a également relevé que les coûts de fonctionnement du FRR étaient maîtrisés.
Il a estimé que la question de l'investissement dans les PME françaises était complexe : investir dans les PME pouvait entraîner, sur le long terme, une augmentation de la croissance potentielle de l'économie, mais plus la stratégie d'investissement était contrainte par des biais, plus la performance pouvait être réduite. En outre, il a jugé essentiel que le FRR se positionne sur des marchés émergents, qui seront les principaux vecteurs de la croissance mondiale à l'avenir.
Il a rappelé que près de 20 % des actifs du FRR étaient investis en France et que 20 à 30 % des actions détenues par le fonds correspondent à des PME françaises cotées. Il a indiqué qu'il en allait de même pour les actifs investis en capital-investissement.