Très sincèrement, monsieur Raoul, je ne connais pas le dossier. Je prends ici l’engagement de l’examiner.
Cependant, je ne voudrais pas que, à partir d’un cas particulier, qui doit être étudié avec précision, l’opprobre soit jeté sur l’ensemble des préfets, qui sont de grands serviteurs de l’État.