Lionel Benaïche, secrétaire général du service central de prévention de la corruption (SCPC) :
Le risque de confusion ne serait certes pas nul. Le conflit d'intérêts portant les germes de la corruption, l'évolution me paraîtrait cependant légitime.
Afin d'éviter tout malentendu, un changement de nom pourrait, cela dit, être proposé.