notant que le dialogue entre les grandes entreprises et les pouvoirs publics était de plus en plus marqué par l'incompréhension réciproque, a rappelé que les groupes qui ont le mieux réussi leur mondialisation sont ceux qui ont maintenu des centres de décision en France. Il a mis en avant l'exemple des banques françaises, qui ont réussi leur internationalisation et qui embauchent beaucoup en France, à l'heure actuelle.