Vous avez dit, monsieur le ministre, que les consommateurs n'étaient pas à la table des négociations sur les prix. S'agissant de la TVA dans la restauration, ils sont pourtant les premiers concernés. Pourquoi ne pas réfléchir à un taux de TVA intermédiaire ? Le contrat de confiance passé avec les professionnels a échoué : de maigres résultats ont été obtenus sur les conditions de travail et les rémunérations, ainsi que sur les prix, mais aucun sur l'investissement, ni sur l'emploi. En ces temps d'orthodoxie budgétaire, ne faudrait-il pas revoir cette politique ?
Quelles consignes ont été données aux tour-opérateurs et au syndicat des agences de voyage au sujet de la Tunisie ? Si nous voulons rendre crédible la transition démocratique dans ce pays et réparer nos erreurs politiques, il faut y favoriser le redémarrage économique, donc le tourisme.