Je m'inscris dans le prolongement des propos de mon collègue, et je souhaite ajouter que je représente ici un département rural, peut-être moins de 5 % de lecteurs, mais que nous existons. L'enjeu principal est celui de la proximité. Je remarque que souvent le diffuseur par défaut dans ces territoires est un petit commerçant (boulanger, épicier du village...), ce qui conforte l'activité de ces petits commerces en zone rurale mais qui a comme inconvénient majeur de n'offrir qu'un seul quotidien régional. La presse nationale est absente de ces petits points de vente.