Entre le Sénat et l'Assemblée nationale est intervenu un avis de la Commission européenne qui a été totalement occulté. Il n'a permis à personne de présenter ses arguments. Or, trois arguments permettent de défendre valablement l'exception culturelle au niveau européen : une raison impérieuse d'intérêt général, la nécessité de la mesure envisagée et la proportionnalité de la mesure en cause.