a souligné que les projets de l'Union pour la Méditerranée seraient ouverts à tous les riverains et les Etats membres de l'Union européenne, que l'utilisation éventuelle des fonds européens était, en tout état de cause, subordonnée à l'accord de tous les Etats membres, et que ce projet visait également d'autres fonds que les financements communautaires. Il a confirmé que le Royaume-Uni ne s'était pas encore exprimé publiquement sur ce sujet, mais suivait attentivement ses développements.