a considéré que le projet d'Union pour la Méditerranée était une idée passionnante. Il a estimé que la position de l'Allemagne s'expliquait par le fait que les pays riverains tireraient un avantage plus important de ce projet. Il a souligné que les fonds souverains pourraient certainement être utilisés, dans la mesure où les monarchies du Golfe s'inquiétaient de la progression de l'islamisme alimenté par la misère et le chômage. La Banque islamique de développement devrait également pouvoir être impliquée. Il a noté que le domaine énergétique gazier pouvait constituer un sujet d'intérêt pour l'Allemagne, compte tenu de sa dépendance vis-à-vis de la Russie et de la nécessité de diversifier les sources d'approvisionnement. Il s'est interrogé sur l'intégration de Chypre dans le processus.