s'est déclaré frappé par le contraste entre la qualité du fond du projet défendu par la France et les défauts de la méthode utilisée. Il a considéré que la France serait la première à protester dans l'hypothèse de la reconstitution d'une ligue hanséatique qui serait instituée sans consultation préalable au niveau européen. Il a estimé que la France fascinait par sa capacité à proposer une vision, tout en irritant par la méthode proposée pour sa mise en oeuvre. Il a souligné que le débat avait été brouillé par la question turque et que la France avait pris un risque à lancer une telle idée en pleine période de ratification du traité de Lisbonne ; notre pays doit accepter de jouer le jeu des discussions avec ses partenaires.