En réponse à M. François Rebsamen, il a indiqué que le caractère progressif du recul du rythme de croissance du stock des encours de crédit a permis jusqu'ici d'afficher un taux supérieur à l'objectif, mais que les flux constatés ces derniers mois conduiront sans doute à une progression nulle en 2009. Il a douté que les banquiers aient véritablement compris l'esprit des dispositions législatives relatives aux rémunérations des dirigeants des entreprises aidées par l'Etat et a vivement souhaité que la Commission bancaire constate dans les banques la réalité du respect des prescriptions législatives et réglementaires.