a déclaré qu'à son sens, ce sujet se situerait au coeur du débat qui allait s'engager entre les groupes Mittal et Arcelor, d'autant que la famille Mittal entendait, en cas de succès de son OPA, posséder la majorité des actions du nouvel ensemble. Puis, revenant sur les réactions négatives que ce projet d'acquisition avait pu susciter dans le monde économique français, il a une nouvelle fois espéré que cet « électrochoc » serait l'occasion d'une prise de conscience collective.