a observé que l'autorisation de diffuser de la publicité dans les émissions de flux, tels que les jeux et les programmes de divertissement, à l'exclusion des programmes de fiction, de création et des documentaires augmenterait les recettes publicitaires de France Télévisions. Il a estimé que cette réforme permettait de dégager 20 millions d'euros supplémentaires de recettes publicitaires, sans hausse du nombre de minutes de publicité autorisées par heure.