a indiqué que France 3 était aujourd'hui dans une situation de concurrence avec les chaînes de télévisions privées locales, adossées à des groupes financiers puissants, visant la réalisation de bénéfices plutôt que l'accomplissement des missions de service public. Elle a observé que France 3 disposait aujourd'hui d'un réel avantage concurrentiel sur ces chaînes locales, notamment grâce à ses moyens techniques, qu'elle entendait le préserver, sans exclure pour autant les associations ponctuelles lorsque les circonstances le permettaient.