a souligné que l'évolution des métiers consécutive à l'apparition des nouvelles technologies faisait l'objet de négociations difficiles avec les syndicats. Il s'agit néanmoins d'une évolution inéluctable dont il est difficile de prévoir le rythme et qui peut, pendant la phase de transition, entrainer des surcoûts pour l'entreprise.
S'agissant des obligations de sous-titrage imposées par la loi, il a précisé qu'un certain nombre de tests techniques étaient actuellement réalisés par France Télévisions. Il a rappelé que le sous-titrage des programmes de stock coutait à l'heure actuelle entre 15 et 16 euros la minute et que celui des émissions en direct s'élevait à plus de 40 euros la minute. Sans remettre en cause le bien-fondé de ces obligations, il a estimé qu'il serait dommage que leur niveau trop élevé contraigne finalement les chaînes à faire du volume sans se soucier de la qualité des prestations proposées au public concerné.