a rappelé que la France était favorable à la mise en place d'un système unique, orientation qui rencontrait l'opposition de la Commission européenne. M. Michel Prada a estimé que la position française allait à l'encontre de la logique traditionnelle de la Commission européenne, qui ne concevait sa mission que dans un environnement concurrentiel. Il a ainsi expliqué que, face aux difficultés des activités de règlement-livraison, la réaction de la Commission était d'organiser la concurrence et la transparence.