a souhaité connaître l'influence des investisseurs et fonds de pension étrangers, notamment ceux présents au sein du capital des sociétés composant l'indice CAC 40. M. Michel Prada a estimé que cette présence n'était pas nécessairement néfaste, dans la mesure où elle pouvait servir à améliorer la performance de sociétés mal gérées. Il a regretté toutefois que la France n'ait pas pu mettre en place de réels fonds de pension.