s'est interrogé sur l'opportunité d'une nouvelle simplification de l'architecture des contrats aidés, compte tenu de l'inévitable atteinte à la stabilité de la réglementation qui en découlerait. Il a estimé que le rôle des contrats aidés du secteur non marchand, certes beaucoup plus coûteux que les contrats aidés du secteur marchand, était d'abord une certaine forme d'insertion sociale.