soulignant la qualité des mesures prévues par le « plan d'action amiante » récemment élaboré par l'AP-HP, s'est toutefois interrogé sur l'importance des moyens affectés à la réalisation de ce plan. Il a noté, en particulier, le paradoxe consistant à présenter un plan ambitieux de lutte contre l'amiante et, dans le même temps, à préconiser un plan général d'économies budgétaires. Il s'est enquis de la qualité des mesures de prévention et de protection pour les agents de l'AP-HP, mais aussi pour ceux des entreprises tierces amenées à travailler sur les sites hospitaliers, soit de façon permanente, soit occasionnellement. Il a voulu connaître le nombre de salariés de l'AP-HP atteints par une pathologie liée à l'amiante, ainsi que le suivi mis en place pour les agents touchés. Enfin, il s'est interrogé sur le processus de reconnaissance des maladies professionnelles au sein de l'AP-HP.