s'est interrogé sur le poids financier du secteur, l'existence de qualifications spécifiques requises des salariés intervenant sur les chantiers, la proportion de travailleurs précaires dans le secteur et, éventuellement, les formations spécifiques qui leur étaient offertes, ainsi que sur la possibilité de disposer d'un registre permettant d'identifier l'ensemble des salariés concernés.