Intervention de André Vantomme

Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées — Réunion du 30 mars 2011 : 1ère réunion
Géopolitique du climat — Audition de Mme Laurence Tubiana directrice de l'institut du développement durable et des relations internationales iddri

Photo de André VantommeAndré Vantomme :

Certains ont dit après Copenhague que l'Europe s'était montrée naïve, d'une part, à s'engager seule dans des obligations désintéressées et coûteuses sans contrepartie, d'autre part, à laisser la Chine aider les exportateurs chinois de panneaux solaires et d'éoliennes à s'emparer des marchés ouverts et subventionnés par les contribuables européens. Qu'en pensez-vous ?

Quelle est la répartition des rôles sur ce sujet entre l'Union et les pays membres ? A Cancún, y-a-t-il eu une position coordonnée des Européens ?

La France s'est engagée à dégager 420 millions d'euros par an de financements nouveaux et additionnels. Selon vous, le compte y est-il ? Qu'est-ce qu'on entend par nouveau et additionnel ?

On nous dit qu'en matière d'énergie renouvelable, de solutions alternatives plus sobres en carbone, les industries françaises sont loin derrière les industries allemandes et que de ce fait nos financements dans ce domaine ne reviennent pas majoritairement à des opérateurs français qui sont mal positionnés dans ce domaine. Est-ce votre sentiment ?

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