a salué l'effort des rapporteurs pour présenter objectivement le programme 146 et a souligné que, pour la première fois depuis longtemps, ce budget donnait aux forces armées les moyens nécessaires pour remplir leurs engagements opérationnels. S'agissant de l'A400M, il a indiqué que les retards n'étaient pas nécessairement imputables à EADS, ni, du reste, au Gouvernement français, mais qu'il fallait s'interroger sur la façon dont la coopération européenne fonctionnait. Selon lui, les spécifications de départ étaient trop exigeantes et l'on a fabriqué, sur le papier, un avion que personne n'est capable de réaliser dans les délais et au prix convenu.