a indiqué qu'il avait toujours été personnellement hostile à la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo, en raison notamment du risque de précédent, comme l'avait d'ailleurs ensuite illustré la reconnaissance de l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud par la Russie à la suite du conflit avec la Géorgie de l'été dernier. Il s'est également interrogé sur les véritables raisons de l'attitude réservée de la Turquie à l'égard des relations entre l'Europe de la défense et l'OTAN.