s'est interrogé sur les différences de coûts de fonctionnement existant entre les centres hospitaliers généraux et les centres hospitaliers universitaires. Il a mis en garde contre les effets pervers liés aux nouvelles modalités de financement, comme celui de favoriser les techniques les moins coûteuses, ce qui ralentit l'innovation médicale, ou d'empêcher la prise en charge suffisante des produits à usage unique, indispensables à certains actes.