Au-delà du suivi des engagements pris sur le fonctionnement de CultureFrance, M. Jacques Blot est revenu sur les recommandations de la commission des finances concernant les missions et orientations de l'association.
Il a rappelé que l'association n'était pas décisionnaire sur les perspectives de transformation en établissement public. Il a souhaité clarifier le mode de calcul de la part élevée (59 %) des engagements financiers consacrés en 2006 aux arts de la scène et aux arts visuels en Europe et en Afrique. Il a précisé qu'elle recouvrait deux catégories d'opérations de nature différente : la promotion de la culture française à l'étranger et les actions engagées au titre du Fonds de solidarité prioritaire, qui relevaient d'une politique de développement culturel dans les pays pauvres. Reconnaissant que ces éléments n'avaient sans doute pas été suffisamment expliqués, il a souligné que la promotion de la culture française en Europe figurait parmi les priorités fixées par les tutelles, et que l'association, par conséquent, ne pouvait guère s'engager à diminuer cette part de 59 %.