a apporté quelques précisions sur le contenu du règlement administratif et financier, et a indiqué que le contrat d'objectifs et de moyens, en énonçant des priorités géographiques et sectorielles, permettait de répondre aux interrogations de la Cour des comptes sur le « foisonnement » des objectifs. De même, il a estimé que la culture des indicateurs concrets, non seulement de gestion mais encore opérationnel, « s'installait » chez CulturesFrance, permettant d'atténuer les critiques qui faisaient état d'indicateurs trop nombreux et théoriques.
M. Alain Pichon, président de la 4ème chambre de la Cour des comptes, a fait part de sa satisfaction quant au respect des engagements pris par la direction de CulturesFrance, et a salué son important effort de rationalisation des orientations et du fonctionnement de l'association, et de mise en place d'indicateurs. Il a considéré que le contrat d'objectifs et de moyens apportait de meilleures garanties sur une saine utilisation de l'argent public, et que la Cour des comptes pourrait procéder à un contrôle de suivi dans un ou deux ans.