a ajouté que les recrutements avaient été gelés et que deux postes de directeurs avaient été supprimés, indépendamment du processus de fusion. Il a cependant considéré que l'on ne pouvait pas, de manière réaliste, adosser la suppression de 15 ETPT aux seuls gains de productivité liés à la fusion. Il a rappelé que l'ADPF fonctionnait déjà avec un personnel administratif réduit, ce qui limitait les marges de manoeuvre pour CulturesFrance, et que des efforts de productivité avaient été portés sur le secteur de la diffusion du livre. Considérant les priorités assignées à l'association et le fait que le quart des effectifs de l'association était protégé par le droit du travail, la poursuite de l'effort de réduction du personnel, selon lui, conduirait CulturesFrance à recourir à des licenciements.