a considéré que les réponses des administrations mettaient clairement en exergue l'absence de pilote dans la chaîne des pensions. Il a constaté que l'accumulation des études n'avait débouché sur aucune prise de décision. Il a appelé l'attention de la commission sur le danger de reporter la réforme des pensions à la révision générale des politiques publiques qui doit être conclue en mars 2008. Il a réitéré la nécessité d'entreprendre dès maintenant la réforme, considérant que le bon fonctionnement de la chaîne des pensions relevait d'une saine gestion administrative, et non d'une politique publique. Il a souligné le caractère indispensable de coordonner les projets Chorus, CIR et opérateur national de paye.