a admis que la concentration du secteur de l'équarrissage demeurait forte et est revenu sur l'augmentation des prix pour souligner que l'Etat avait été impuissant à maîtriser une hausse des tarifs partiellement due à un effet de rattrapage. Il a observé que les comparaisons internationales étaient un exercice délicat, mais a souscrit à la proposition d'approfondir cette démarche. S'agissant du choix du tonnage comme unité d'oeuvre pour le marché public, il a fait valoir que ce critère garantissait un haut degré de traçabilité et permettait d'améliorer le contrôle des prestations effectuées. Enfin, il n'a pas exclu d'adapter les clauses du marché public pour permettre une meilleure valorisation des produits de l'équarrissage et une diminution des coûts.