s'est demandé si les universités étaient techniquement en mesure de gérer des sommes aussi importantes que celles prévues dans le cadre de l'emprunt national. Il a interrogé les ministres sur les professionnels et les structures - fonds spéculatifs, capital-investissement... - concernés par la taxe sur les bonus. En l'absence d'un minimum de coordination européenne, cette mesure risque d'être « à mi chemin entre le budgétaire et la gesticulation ».