Les modifications que je propose visent à revenir au texte adopté par le Sénat. Il n'est pas nécessaire de répéter dans la loi ce qui est déjà précisé par le décret de 1979 et le code monétaire et financier. Il s'agit de savoir si l'Agence française de développement fait partie de notre outil diplomatique, ou s'il s'agit d'une simple banque. On donne, en l'état actuel du texte, une autonomie excessive à l'AFD.