Vous avez employé plusieurs fois le terme de « décrocheur ». Vous laissez entendre par là que ces jeunes sont responsables de leur échec, alors qu'ils sont les victimes des failles du système scolaire et universitaire : ce sont des « décrochés », laissés au bord du chemin ! Les mots ont leur importance.
Que faites-vous pour juguler la violence dans les écoles, les stades, la violence des jeunes entre eux ou avec leurs professeurs ?