a estimé, tout d'abord, que le développement de relations avec les entreprises, longtemps insuffisant, ne justifie pas, néanmoins, de multiplier les recours à des partenariats public-privé. Il a insisté sur la question centrale de la gestion de l'espace urbain et de la rénovation des centres historiques, souhaitant que les architectes soient au coeur de ces enjeux, compte tenu de l'écho que trouvent ces démarches dans des pays comme la Chine ou l'Inde. Il a indiqué que les architectes ne doivent pas limiter leur rôle au respect des normes de type « haute qualité environnementale » (HQE). Puis il a plaidé pour un développement de la formation et des travaux de recherche sur la maîtrise des outils d'urbanisme.