Nous avons mené une étude sur les ports, qui nous a permis de constater que nos partenaires européens avaient une façon différente de gérer les dossiers. Autrement dit, nous avons vérifié que le mieux est souvent l'ennemi du bien. L'argument écologique se retourne contre le développement de nos ports lorsque la rédaction des plans de prévention des risques technologiques traîne pendant des années et bloque toute activité pendant cette période, comme cela semble être le cas à Nantes, ou lorsqu'on émet un avis négatif à l'amélioration d'une plateforme intermodale permettant de favoriser le ferroviaire et le fluvial. Où en est-on de l'autorisation de celle du Havre ? Comment pourrait-on simplifier les procédures d'implantation des activités économiques ? Enfin, comment mieux relier nos ports au réseau de transports terrestres ?